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| Une théorie sans faille  | Il y a dans le droit, le même écart entre Français et Américains que dans la culture, de sorte qu’il faudrait codifier le droit aussi : « 001 » pour
  la recherche de toujours moins de responsabilité,
  sous couvert de social, et « 306 » pour
  la recherche de défis toujours plus grands, définie comme l’esprit d’entreprise. | ||
|  Gauche  Par défaut — paresse mentale,
  médiocrité, approximation,
  laisser‑aller ; par excès — brutalité, rigorisme,
  tyrannie ; ou par vice — insouciance,
  dissimulation, prédation
   De même qu’il
  existe 4 méthodes pour résoudre un problème de mécanique
  — calcul traditionnel, méthode graphique, informatique,
  et torseurs —  on peut cerner le
  droit de quatre manières … Soit deux
  références relatives — gauche et  droite — et une référence
  absolue — Dieu —
  successivement approchée par le
  polythéisme (illustration fantastique
  mais scientifique de l’éloignement du droit et de ses
  conséquences), et par le monothéisme,
  référence universelle au processus de la
  (joyeuse) soumission à Dieu. | Les malfaiteurs s’amusent du grand public — qui ignore
  tout de leurs trafics, d’une part, et qui d’autre part, tient à ses préjugés contre le droit, au
  profit de cet establishment. §  Eloignement
  du droit Nous sommes tous plus ou moins éloignés de la droiture, et cet éloignement
  est d’autant plus grand si nous symbolisons la référence au droit par Dieu ! §  Axe mondial de la
  démocratie Pour attester du bien-fondé de cette thèse, constatons combien à
  elles seules, les exigences de l’apostolat,
  qui approche la droiture au plus près, nous paraissent
  déjà bien lourdes. Dire que nous sommes tous de gauche par rapport à l’exigence divine
  n’est donc pas exagéré, même s’il est manifeste que la priorité du droit
  est très inégalement prise en compte par
  les hommes. (13 oct. 2012) | Recherche d’une constitution à  Caractère
  universel Il faut continuer en historien, le travail de journalisme commencé par VOLTAIRE, au XVII° siècle, et dénoncer les méfaits de cinq siècles de parisianisme contre la République des Sciences. §  De l’histoire des nations à l’histoire du droit Or l’ambition d’établir un encadrement du droit par
  l’histoire des nations est à relayer par un travail de purification,
  facilité par toute fenêtre culturelle et linguistique entre prisonniers et gens libres — par-dessus les
  nations, qui certes, ont leur histoire. (16 août 2014) §  Encadrement historique du  Au Royaume-Uni, où la justice est affaire de lois écrites et de vivantes
  traditions, également orientées vers la conservation du
  droit, la référence à une
  loi universelle dérangerait d’autant moins que l’établissement de cette loi est dû à l’Anglais Newton. En Roumanie, où le ministère public multiplie constamment les abus pour
  dissimuler les agissements mafieux de la nomenclature, le souci de
  conservation du droit par la  jurisprudence
  n’existe même pas. En France, où les sont citoyens privés de la
  possibilité d’ester en justice contre l’état depuis 1994, le
  citoyen privé de ses droits au profit d’un appareil étatique toujours plus lourd, ne se plaint jamais ; il
  affiche même une joyeuse fierté. (14 août 2014) | |
| Le sujet du droit au 21° siècle Dans le milieu universitaire, par exemple, il faut
  distinguer ; le niveau d’erreur moyen, à caractère collectif (ignorance générale du caractère
  scientifique et technologique des Lumières) ; l’erreur relative,
  à caractère individuel (petite médiocrité supplémentaire à
  laquelle la mauvaise foi ne manque jamais de se livrer.)  Ce que la justice doit prendre en compte n’est donc pas, selon
  les idées reçues dans ce milieu, l’erreur manifeste de tout ou partie de la
  société, mais la petite médiocrité individuelle, qui aggrave la
  « la lente dérive »
  que tous s’accordent à constater.  | |||
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mercredi 14 mars 2018 à 13:38  -  retour á EN HAUT du document