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                           Faiblesse    du   discriminant    contre   le  droit

Identifier l’ennemi du droit, face à la récurrence du phénomène de collusion

Corruption - Etroitesse d’esprit - Faiblesse - Manque de rigueur - Rejet de la spiritualité

(22 sept. 2012)

Rester cartésien

Face aux errements de notre société, de Hitler, à Ceaucescu, diplomatie et droit supposent, vu la nécessité d’une bonne distance vis-à-vis des Britanniques, de  qualifier la dérive de la laïcité française

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Identifier des chefs locaux vers une autorité mondiale acceptée

Résistance du
mur de Bruxelles

 « Nomination d’un nouvel ambassadeur Américain à BUCAREST »

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Universités perverties et

Dogme libertaire !

Né du traumatisme de l’Inquisition, il se réfère à la prédictibilité du point de vue français, toujours prêts à servir les intérêts de la collusion : nul doute que la France, restée commodément silencieuse quant au génocide roumain, va soudain devenir très loquace lorsqu’il s’agira de défendre les infracteurs de l’état roumain. (28 août 2015)

§  Cloisonnements suspects

§  Un peu de sérieux nécessaire !

La méthode, qui allie sens de la rigueur et ouverture d’esprit, est associée à l’exigence de concentration, caractérisée par la fonction « faire tant que »,

tandis que le commerce de la rigueur  est caractérisé par le manque d’ouverture d’esprit.

§  Puissance de l’esprit de géométrie

Rappel de la position ordinaire commune avant rédemption du Président HOLLANDE. (21 avr. 2015)

M. HOLLANDE disait « ne pas aimer » les riches, mais la haine conduit indirectement à la guerre. En vérité, ce que nul ne peut aimer, je crois, c’est l’injustice. Et ce noble sentiment, on le voit, élève l’homme de sa condition difficile.

(13 janv. 2013, finalisé le 9 déc. 2016)

§  Mieux situer notre histoire dans celle du monde

Par un précieux rappel d’instruction civique, Henri COUTIS nous invite déjà, en 1986, à « mieux situer notre histoire (…) dans celle du monde ». Propos qu’il synthétise en 1996. »[1]

§  Autisme des historiens français

C’est cet auto-centrisme, caractérisé par la dérive de la laïcité française que nous rappellent divers historiens européens, en 2012, en sociologues européens de l’histoire franco-russe, déplorant la fâcheuse tendance à ne connaître de l’histoire  « que ce que nous en disons »[2] nous‑mêmes.

Une souveraineté absolue

Or ces errements se propagent de l’université à la justice, une situation que Kenneth CLARKE suggère de résoudre dans le respect de la souveraineté britannique, en clarifiant « les relations entre les cours nationales, les parlements nationaux et la cour de Strasbourg, »[3] en conformité avec le caractère universel de l’histoire.

§  Vingt-cinq siècles de raison

Pour Bronislav Geremek, la fracture de l’histoire se situe au 16° siècle. Le moins que l’on puisse faire est en effet de souligner l’ambiguïté du concept de révolution.

Mais il est une fracture plus profonde que je situe pour ma part au 11° siècle, et c’est ce millénaire dont René Descartes et le porte-drapeau mondial, au coeur de l’épopée de la raison contre l’Inquisition de l’église catholique.

Pour autant que les mœurs dissolues et trafic de l’église aient conduit aux réformes du Pape Grégoire VII, en 1073, l’affaire dite des investitures laïques, loin de tout résoudre, ne fait qu’aggraver l’approximation.

De plus, il serait réducteur de mentionner les « mœurs dissolues », forme excessive d’une saine pratique du bonheur, sans évoquer la Chrétienté dans son ensemble, de même que la dérive religieuse et son fondement chrétien.

Ainsi, chacun voyant midi à sa porte, on ne peut faire l’économie de mentionner, avec Euclide, l’articulation, au 1° siècle, entre l’époque Antique et la pensée moderne, au service d’un tronc commun pour l’école.

La génération des 30 glorieuses, qui a reçu une formation cohérente - enviée dans le monde entier, Anglais en tête - de même que la paix en héritage, n’avait-elle pas en effet le devoir de transmettre les fondements rénovés d’une  paix durable entre Chrétiens d’une part, et d’autre part, entre Chrétiens et Musulmans ?

 

Document créé ou modifié le lundi 3 juillet 2017 à 16:08  -  retour á EN HAUT du document

 



[1] Henri COUTIS, 1996 (propos recueillis par le journal le Petit Voironnais)

[2] Valéry Giscard d’Estaing, la guerre de 1812 (propos recueillis par JP Elkabbach, le 23 novembre 2012)

[3] Kenneth CLARKE, ministre de la Justice britannique (propos rapporté par Le Point, 26 janvier 2012)