Fondation
du verseau pour la paix

T2. Par-dessus deux trous noirs

                           Corruption  des idées  et des personnes   de  Charybde  en Scylla

 

Propagation du non‑droit
« de Charybde en Scylla » — du crime intellectuel, en Charybde, au crime de sang, en Scylla

Superposition de deux trous noirs spécifiés :

Trou noir de la stagnation de la recherche, de l’Antiquité à la Renaissance ;
Trou noir schismatique de la dissimulation de la connaissance, du Moyen-Age à nos jours

Des dérives toujours plus manifestes en Scylla ; des positions toujours plus retranchées en Charybde sous l’effet de deux trous noirs — Trou noir des sciences et techniques, Trou noir schismatique de la spiritualité.

L’idéologie dominante prétend supprimer religion et sectes pour améliorer la vie sociale au lieu de promouvoir le deal mondial de la spiritualité par une formation équitable ; elle est caractérisée par une hérésie dont chacun doit compenser la dérive — intoxication, normes hâtives. (12 oct. 2017)

 

Faux
et usage de faux

En Charybde, l’ignorance des lois associées du rendement et du mérite n’est qu’un moindre mal de la démocratie ;

En Scylla la corruption se moque bien d’être cernée tant qu’elle peut « faire cracher au bassinet » tous ceux qui ne peuvent plus se protéger de la pieuvre tend à soigner le mal par la mort : (01.09.10, rectifié le 20.11.13)

Recherche

Abus de social

A la SNCF, les malfaiteurs se sont progressivement rendus inexpugnables par dix niveaux de hiérarchie. (Un rapport des commissaires aux comptes, juin 2016)

L’Elysée, pillée par(mai 2013)

Establishment et syndicats français,
imposent des cloisonnements absurdes

La corruption du tissu social, qui se propage de Charybde en Scylla, se réfère à un grave manque de sérieux1 — félonie — caractérisé par un manque d’adhésion au droit —de la démission à la rupture avec le corps social.

Note 1 – Sauf avec « les profs du technique »

§  Trahisons systématiques

L’ignorance n’est pas (seulement) la non‑connaissance, mais c’est (aussi et surtout) l’obscurantisme savant, caractérisé par les mobilités inutiles d’un intellectualisme pervers, et par la collusion des enseignements généralistes.

Or cette corruption a des conséquences politiques (3° colonne), économiques, et juridiques.

§  Conflits meurtriers, en Scylla

Elle se propage de Charybde (« dictature laïque ») en Scylla (« vautours de la finance »), par une corruption inhibitrice, dont il faut certes dénoncer les pratiques insidieuses, mais dont les racines plongent dans la corruption du savoir.

§  Source de la corruption

Un Bulletin Officiel à deux vitesses, touchant notamment le cloisonnement des Lettres en Lettres Anciennes et Lettres Modernes, et le cloisonnement du Génie Mécanique en Option Construction et Option Productique.

Agir en Charybde pour remédier aux problèmes en Scylla : le contraire est vain et dangereux

Conséquence du
crime intellectuel

Plus rien n’empêche la société de tomber de Charybde, en Scylla, lorsque l’école détournée de sa mission ne répond plus au cahier des charges du changement,

qui consiste à considérer le non-droit et le droit en un même effort de formation, pour protéger la société de

§  Omniprésence de la double‑contrainte

La corruption commence en Charybde, par la discrimination des enseignants contre le milieu protestant et se poursuit par des entorses à la logique et des infractions au droit toujours plus manifestes, avec l’alibi du social, et l’ignorance suspecte, voire complice, en Scylla, du détournement de l’économie, occulté par une corruption juridique lui permettant de voler avec le confort et l’apparence de la légalité, et de la loyauté. (30 mai 2012, rectifié le 10 août)

Définition provisoire

Ronronnement convenu de fonctionnaires protégés par le silence complaisant d’autres fonctionnaires.

§  Rectifier une discipline outrancière

La saine discipline procède de l’union du corps et de l’esprit, et pour le moins, de la concentration de celui qui ne fait pas obstacle à la libre circulation des énergies et des pensées dans son corps.

La corruption de la pensée consiste à toujours diviser, avec l’alibi que procure le 2° principe de la méthode, sans jamais ordonner ses pensées, nonobstant le 4° principe, dont Descartes dit qu’il est « le plus important » 

Tant que le désordre règne dans le domaine de la pensée, l’ordre ne peut pas régner dans le monde. (2005)

 

 

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