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                           Violations   de   l’état  de droit

L’abus de social – à distinguer du déni de social

Si l’on demandait aux Français en quoi consiste la violation de l’état de droit, la plupart ignorerait sans doute la dictature par abus de social, et au pire, elle ferait naïvement écho à l’agitation médiatique contre Vladimir POUTINE, entretenue en Charybde avec Greenpeace et autres Pussy Riots (22 décembre 2013)

Saisir l’instance concernée

Vu les crimes d’Hitler contre la culture allemande, il faut saisir les instances européennes de la justice ; à défaut, jeu sans fin de la collusion contre le droit.

(18 oct. 2014)

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Zone de critique légitime

Mort sur ordonnance

En osant donner un cachet fatal à une patiente en convalescence, le Dr. GALLOUJ, du centre de gériatrie le Molinel, à Wasquehal, a commis un crime 

§  Euthanasie administrative

Le mobile du Dr. GALLOUJ était de simplifier son travail — les soins « en bas », les Alzheimer « en haut » — or cette attaque contre un groupe caractérise le crime contre l’humanité, défini par la cour pénale de La Haye.

§  Abus de pouvoir

L’alibi de ce crime sur ordonnance est le « désordre » : sur ce point, la confusion la plus grave règne dans notre société obscure.

§  Alibi du social

Pourquoi se compliquer la vie à respecter celle des autres, quand il est si facile de leur donner un comprimé fatal ?

Lourd travail d’investigation, 52 ans après le discours de Berlin, pour révéler la dictature BASESCU. (22 août 2015) 

Malgré l’obscurantisme

Grandir la Maison de l’Âme roumaine

§  Violation continue du droit

Sans autre précédent[i] que le nazisme, le détournement de l’économie roumaine par la collusion BASESCU

§  Prédation des biens privés, et publics, en Scylla

Les Roumains systématiquement expropriés de leurs biens par des magistrats prédateurs contre les petits propriétaires, déjà visés en France, et systématiquement mis en esclavage en Roumanie, ce qui explique le grand nombre malheureux réduits à devoir survivre dans les souterrains de Bucarest.

§  Magistrats prédateurs et parlementaires insatiables

Détruisent le système du droit par une improvisation juridique éhontée, tandis que le Président roumain se charge lui-même de détruire la vie sociale en interdisant à ses ministres, ennemis politiques, et journalistes, de commenter cette dérive sans précédent, sinon le nazisme.  (17 janvier 2014)

§  Abus de social

En France, la résistance au droit fonctionne déjà pour des faits pénaux de moindre importance, comme par exemple, le trafic de droits par des employés des hôpitaux, après la perte de leur ancien privilège à la gratuité des soins.

§  L’Union européenne dans de beaux draps

Mais en laissant les propriétaires roumains dépouillés par suite de l’appétit insatiable de ses magistrats, l’Union européenne démontre que l’abus de social mène à la dictature. Une dérive que préfigure déjà la Sncf, qui n’hésite pas à prendre le public en otage lorsque celui-ci prétend cesser de devoir financer lui-même les privilèges de ces fonctionnaires. (19 déc. 2013)

Une investigation élargie

Il ne s’agit pas de partir en procédures inutiles – chacun peut toujours jurer ses grands Dieux qu’en son âme et conscience, il n’a rien à se reprocher - mais de stopper la dictature de la technocratie.

§  L’état de droit bafoué

Ce qui a bougé en France, depuis 1968, c’est le seuil de tolérance à l’erreur manifeste : il n’y a plus de limite à l’arrogance de la collusion. Telle est du moins la situation du Président Sarkozy confronté à l’inertie maffieuse des enseignants : l’autorité des mathématiques, justifiée lorsqu’il s’agit de nourrir les fonctionnaires-enseignants, perdrait sa vertu arithmétique lorsqu’il s’agit de faire les comptes !

 

 

Document créé le 23 Mai 2006 et modifié le 22 août 2015 à 17:08  -  retour á EN HAUT du document

 



[i] 30 avril 1939, adoption d'une loi privant les Juifs de protection locative : ils sont alors expropriés et rassemblés (Chronologie du système concentrationnaire nazi (1933-1945) http://icp.ge.ch/po/cliotexte/la-seconde-guerre-mondiale/camps.de.concentration.html