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                           Cybernétique  et   humanités
| Un monde parfait — si loin de la médiocrité de la mouvance
  franco-communiste | Enthousiasme et passion
  définissent sans doute le mieux l’esprit
  américain   — comme l’illustrent
  notamment les carrières du Dr. Thanh H. VUONG, ingénieur et médecin — Colonne
  3, en fenêtre culturelle — ou de Paul EKMAN, qui découvre le phénomène universel des
  micro-expressions — auquel il forme le FBI et les scénaristes de l’excellente série
  « Lie to me ».  (13 juill. 2013) | |
| Docteur Thanh H. VUONG Ph. D  Spécialiste du normal et du pathologique Glossaire
  médical  Liens
  internes Esprit d’équipeLiens
  externes | Une trilogie d’expertises au service
  de l’ingénierie
  des dispositions  Docteur Thanh H. VUONG (Photo) est la fois : Ingénieur en construction navale,  §  Observation de la marche du monde §  Oscillation misérable de l’ignorance Nul doute que l’être humain réagit en fonction de son expérience :
  il aime ou n’aime pas. §  Rétro-propagation
  de l’information
   A ce titre, il s’emploie à amplifier
  ce qu’il aime et réduire ce qu’il n’aime pas, mais ce faisant, par ignorance de la concaténation naturelle des disciplines du système du monde,
  il risque de réduire ce qu’il aime et amplifier ce qu’il redoute. Qu’il acquière un peu de science,
  en effet, et bientôt, pour comble
  d’infortune, il se montre incapable d’appréhender
  la plus énorme des réalités, car c’est cette propension
  à l’abstraction excessive qu’on lui enseigne en lieu et place de la mécanique du
  système du monde qu’il lui faudrait comprendre. (25 mars 2015) Comment cette formidable performance est-elle possible ? (Autobiographie en Colonne 3) | Autobiographie 2006, extrait de la vie quotidienne d’un  Héros américain Ingénieur naval diplômé en 1956 (…) je fus affecté à Dreux où je commandais un
  atelier logistique d’entretien et, une semaine par mois, une flottille de six
  patrouilleurs au Détroit de Messine (…) jusqu’en 1962, où j'ai eu mon
  diplôme français de médecin gynécologue-obstétricien
  en même temps que mon PhD américain de la Stanford University
  en mathématiques des particules subatomiques.  J’exerçais alors
  tous les matins en gynéco-obstétrique et tous les après-midi en pédiatrie, en
  Tunisie, où j’étais délégué de l’UNESCO et de l'OMS auprès des ministères de
  la santé et de l’éducation.  Là, j’ai formé des
  convois sanitaires (…) constitués de camions 4X4 tout-terrain Mercedes Unimig 404 S en version ambulance traînant une remorque
  conçue avec les mêmes trains arrière et boites que ceux de l'ambulance pour
  la cohésion systémique et logistique des pièces de rechange.  J’allais une fois
  par semaine en convoi sanitaire et une fois par mois en conférence avec les
  ministres (…) »  | 
| La passion — sans limite Rares sont ceux
  qui possèdent plusieurs expertises aussi exigeantes que l’ingénierie mécanique
  et la médecine. Tel est
  pourtant le cas de Dr. Thanh
  H. VUONG, brillant ingénieur, passionné par tous les aspects de la
  mécanique et de l’organisation industrielle et humaine, et de plus, médecin
  obstétricien expérimenté ! §  Approche
  transversale de l’ingénierie et la médecine Etonné par un
  registre de connaissances confinant à l’histoire des
  sciences et techniques et à la diplomatie
  internationale, je finis par oser lui demander, après un an de
  travail en équipe, s’il avait effectivement eu l’occasion de pratiquer la
  médecine : sa réponse (encadré) fut édifiante … §  Différentiel
  culturel Un tel niveau de passion 
  est peut-être « normal » aux USA, mais éminemment inconcevable en
  France, notamment par les milieux
  académiques, conformément au différentiel
  culturel fondamental, caractérisé par l’évidence de règles en vigueur différentes entre
  Etats-Unis et France.  (13 juillet 2009) §  Biographie complémentaire   (source : autobiographie, Dr T.H.
  Vuong, 2008)  Issu d’une famille
  de pêcheurs de la baie du Chesapeake, immigrée du Japon en Virginie, Thanh,
  de la 3° génération nippo-américaine, passe son « Bac » français et son
  « Abitur »
  allemand à Washington, en 1952, et rencontre sa future épouse en la personne
  de sa plus belle élève de "Sciences Ex", au Collège National de
  Flers de l’Orne, où il enseigne les disciplines scientifiques jusqu’en 1962,
  tout en effectuant sont internat de médecine à Caen – et cela en assumant ses
  fonctions d’ ingénieur naval, en charge d’un flottille de l’armée Américaine
  (…) | ||
 
Document modifié le dimanche 3 juin 2018 à 12:35  -  retour á EN HAUT du
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