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                            Euthanasie :    deux poids    deux mesures

 Un manque manifeste de moralité

Le serment d’Hippocrate  bafoué à l’Hôpital de Wasquehal  en 2005. Rendre possible le « laisser mourir »  sans autoriser le « faire mourir »

Dr Gallouj

 

Quel service à la société est-il rendu par celui ignore le serment d’Hippocrate et se permet contre toute morale – au centre des revendications de l’Ordre des médecins - d’attenter à la vie d’un de ses patients, et de passer sous silence le caractère criminel de son acte comme s’il avait régularisé de manière purement anodine, une simple situation administrative ?

Euthanasie de complaisance

Confisquer la vie - d’autant plus longue que la personne est saine et sportive - n’est pas une pas une pratique médicale glorieuse, mais une pratique criminelle, et pour le moins de complaisance.

Euthanasie d’exception

Pourquoi Hervé PIERRA, pourtant mort  cérébralement, n’a-t-il pas été sédaté ? Pour la même raison que Jacqueline CROCY, pleine de vie, l’a été aussi : à cause (encadré) de la dictature de la collusion.

France 

Grandeur et décadence

S’agit-il d’abréger les souffrances d’un malade « en fin de vie » ? Alors le soignant qui écoute son patient et son cœur doit être poursuivi et condamné !

S’agit-il au contraire d’euthanasie criminelle sur une patiente en pleine forme qui ne demande rien, pas plus que sa famille, mais gêne la médiocrité ambiante ? Et c’est l’impunité totale !

Je n’en veux pour preuve – au-delà de la confusion liée à l’ignorance intentionnelle ou fortuite de la loi Leonetti, invoquée par M. Jean LEONETTI -  que le mépris avec lequel la demande de Mme et Mr PIERRA a été traitée à l’hôpital (assemblée nationale, mission fin de vie, rapport de la famille, 28 Mai 2008) – si respectables,  par ailleurs, soient certaines équipes.

Ce mépris rejoint éminemment celui de Docteur Gallouj, dans sa détermination secrète, pour éviter tout conflit avec la famille, à régler le problème à sa manière.  

Au total :

§  L’euthanasie doit rester l’exception (voir discussion détaillée), sinon (législation), on favorise l’horreur (en repoussant les frontières de l’acceptable) ;

§  L’ambition d’ améliorer les choses ne peut faire l’économie de considérer le problème de la médiocrité retranchée.

§  La prétention à discuter sérieusement ces questions ne peut ignorer que les carrières de la recherche – notamment médicale - constituent un mobile au crime d’acharnement thérapeutique, qualifié ou non d’abstinence  déraisonnable …

 

Document créé le 23 Mai 2006, et mis à jour le 20 mars 2019 à 11:17  - á EN HAUT du document