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                            Synthèse  du  patrimoine  immatériel  de  l’humanité

 

Notion de droit et contrainte associée

Il faut distinguer l’idéal moral du droit et la spécificité juridique : l‘idéal nous invite à dépasser nos limites, le droit juridique nous y contraint ! (15 juin 2013)

Vanité

Toute prétention à l’autorité n’est effective que si la connaissance est ancrée au quotidien autrement que par l’artifice de déclarations d’intentions plaquées au discours : à quoi bon se targuer de faire progresser la science ou le droit si l’on est muet sur les questions les plus sensibles, au lieu d’élaborer des issues constructives sur les rapports entre Talibans et Croisés, Islam et Chrétienté, science et théologie, méthode et santé  (10 octobre 2010)

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Patrimoine : un état des lieux étonnant

 

Positionnement du problème

A partir du message éducatif de l’école de la République, une préconisation pertinente en matière de politique générale et industrielle permet de cerner l’exigence de solidarité.

L’exigence de noblesse

Le mérite de Victor Brochard est d’avoir posé clairement l’inconsistance des lettres modernes, et pour le moins, le danger, à dissocier le corps et l’esprit, de finir par renoncer à toute logique ! Le problème qu’il a soulevé en 1902 n’a cessé de s’aggraver tout au long du 20° siècle : la psychologie, d’abord synonyme de prévenance, est devenue synonyme d’ignorance acceptée.

Dès lors que le zen, caractérisé par le shugyo, préconise effectivement l’oubli de soi en matière de philosophie, il n’est pas faux de dire, comme la fait Victor Brochard, que la recherche du bonheur ne peut tenir lieu de préconisation pertinente en matière de conduite individuelle, et qu’à elle seule, cette observation donne à l’hédonisme Kantien une légitimité supérieure.

Faut-il pour autant disqualifier les autres philosophes ? Pour répondre à cette question de manière certaine, il faut commencer par distinguer le philosophe de la philosophie, c’est-à-dire le penseur, parfois précurseur, et la chose pensée et enseignée.

Ainsi, le philosophe a-t-il toute légitimité à rechercher sinon l’idéal de la pensée, du moins, l’amélioration des choses, conformément au libre‑arbitre de l’homme de bonne volonté, et dans ce cas, on ne peut exclure personne, car chacun a le droit d’exister : c’est la déclaration des droits de l’homme.

Identité du droit : « il y a loin
de la coupe aux lèvres ». Mais

Courage !

L’enseignement général manque de grandeur : qui veut embrasser les Lettres pour grandir les savants ? De plus, ne marque-t-il pas une certaine démission ? Fuir la rigueur d’un enseignement scientifique inhibiteur n’est-il pas trop souvent la vraie motivation de ceux qui devraient au contraire offrir un refuge à ceux qui cherchent ?

Réformer l’esprit de l’enseignement, au total, suppose de remplacer l’arrogance et la médiocrité d’une suffisance malheureuse, par le cursus enthousiasmant de l’invitation la plus motivée à l’esprit de méthode, synonyme de rigueur et d’ouverture d’esprit – composantes également ignorées d’un milieu généraliste qui se confond avec l’ignorance.

Il y a loin de la coupe aux lèvres dit en effet le proverbe ! Cette pensée décrit parfaitement ; les approximations frileuses d’un enseignement général dévoyé, et autres calomnies mensongères de la mouvance de gauche contre le milieu anglo-saxon, d’une part ; et suggère d’autre part les exigences élevées mais accessibles, et pour le moins légitimes, de l’orthodoxie intellectuelle et morale du milieu protestant, mécaniciens en tête !

Si tous ces combats se rejoignent, c’est parce que la médiocrité rejette, par convention et par commodité, toutes choses – ci-après développées – qui la peuvent déranger, à commencer par la droite vertu des ingénieurs et techniciens, et son enseignement, qui focalise aussi bien le mépris que la convoitise d’une médiocrité universitaire éloignée de la vocation des techniciens qu’elle comprend mal !

Pour autant, une démocratie respectable ne saurait se réduire à l’élite d’ingénieurs et techniciens effectivement formés, mais au contraire, elle doit embrasser les arts, et la culture, c’est-à-dire, les gammes et le solfège d’une sociologie rationnelle et leur adaptation au monde de l’industrie comme prélude aux bonnes manières de l’esprit d’entreprise. (23 juillet 2009)

Si au contraire, le philosophe considéré a vocation à enseigner, et pour le moins à préconiser une politique générale et industrielle, alors oui : il faut disqualifier les pensée insuffisantes, en ce qu’elles rendent compte de la carte du monde commune à l’enseignement de Téthys, de Kant, et de l’ingénieur mécanicien - sans tomber pour autant dans le piège de la dérive rétrograde, qui tend à détruire l’édifice pour remplacer la vérité (Kakuzo) par la fiction (Boyer).

 

Document créé ou modifié le jeudi 25 juillet 2019 à 22:01  -  retour á EN HAUT du document